La contrefaçon existe depuis toujours. Elle existait déjà au temps des romains et elle existera probablement toujours. Et il serait utopique de penser qu'elle cessera d'exister dans le futur ; il y aura toujours dans un coin du globe des personnes opportuniste qui tâcheront de tirer profit de produits déjà existants et générant des profits. Élaborer une montre à Genève dans les laboratoires du temps, créer un mécanisme original, "designer" la montre, la produire, en faire la publicité et la distribuer sur le marché sont des activités qui demandent de gros moyens et beaucoup de temps.
En revanche, se procurer cette montre, en faire une copie, exploiter des ouvrier payés moins de 80 euros par mois, créer un réseau de distribution mondial via le net, écouler ces produits en attendant de se faire fermer son site par les services d'investigation anti-contrefaçon, en remonter un autre et continuer ce "business" ne demande que peu de scrupules et un investissement financier dépassant à peine celui de la création d'une montre originale. Si on regarde les faits, même en justifiant que cela peut faire vivre bon nombre de familles qui ne possèdent que cette opportunité pour survivre, cette activité cache un véritable réseau de criminels. L'ère de la Rolex ou de la Cartier se vendant sous le manteau dans un marché aux puces d'une capitale est révolue.
Aujourd'hui, c'est une activité qui génère des millions de dollars, de l'Asie aux Etats-Unis, n'oublions pas la définition du mot WEB : toile d'araignée. eBay permet à tout le monde de vendre ses biens via Internet et l'idée est très bonne, mais c'est une ouverture à un autre type d'activité frauduleuse : la vente de contrefaçons sous couvert de proposer des Rolex Submariner, Daytona ou Explorer - des produits très demandés - à des prix exceptionnels. 1500 dollars pour une Rolex 1680 Submariner Rouge est un prix plus qu'attrayant. Lorsque vous recevez la fausse, c'est un autre histoire...
En revanche, se procurer cette montre, en faire une copie, exploiter des ouvrier payés moins de 80 euros par mois, créer un réseau de distribution mondial via le net, écouler ces produits en attendant de se faire fermer son site par les services d'investigation anti-contrefaçon, en remonter un autre et continuer ce "business" ne demande que peu de scrupules et un investissement financier dépassant à peine celui de la création d'une montre originale. Si on regarde les faits, même en justifiant que cela peut faire vivre bon nombre de familles qui ne possèdent que cette opportunité pour survivre, cette activité cache un véritable réseau de criminels. L'ère de la Rolex ou de la Cartier se vendant sous le manteau dans un marché aux puces d'une capitale est révolue.
Aujourd'hui, c'est une activité qui génère des millions de dollars, de l'Asie aux Etats-Unis, n'oublions pas la définition du mot WEB : toile d'araignée. eBay permet à tout le monde de vendre ses biens via Internet et l'idée est très bonne, mais c'est une ouverture à un autre type d'activité frauduleuse : la vente de contrefaçons sous couvert de proposer des Rolex Submariner, Daytona ou Explorer - des produits très demandés - à des prix exceptionnels. 1500 dollars pour une Rolex 1680 Submariner Rouge est un prix plus qu'attrayant. Lorsque vous recevez la fausse, c'est un autre histoire...